« Comme les autres pourtant, elle s’enivrait
d’absinthe et passait de longues heures d’attente assise sur le pas de sa
porte, la cigarette à la bouche, les mains jointes sur son genou relevée. »
Isabelle Eberhardt, écrivain-voyageur franco-suisse (1877-1904) in Portrait de
l’Ouled Naïl.
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