jeudi 4 avril 2013

Fanal


« Suspendu à la porte d'entrée brillait le fanal garni de sa lampe à pétrole. A l'angle du mur se dressait une longue perche, dont la destination est d'attirer les regards des passants pendant le jour. A travers les joints des contrevents filtraient les lueurs de l'intérieur et s'échappait aussi un bruit de voix et de verres. Une enseigne grossièrement peinte s'étalait au-dessus de la porte principale, et, à la clarté du fanal, on pouvait y lire ces mots : Kabak de la Croix-Rompue. » 
Jules Verne, in Un drame en Livonie.


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